Coucou bonsoir les copinettes

Bravo Nath pour ces 800g tu es aussi assidue que Dany bravo vous 2 Notre Tite Belge à de l'humour = génial

moi rangement et préparé crudités et papiers pour 2 Rv CHU pfff

Bonne soirée et courage à toutes bises

















Un enfant qui se sent rejeté ne remet pas en question ceux qui le repoussent ; il se remet en question lui-même. Il se dit que s’il n’est pas aimé, c’est qu’il ne le mérite pas.
Alors, il tente de compenser, d’être plus gentil, plus obéissant, plus utile.
" Si je ne suis pas assez, on me laissera tomber"
Ainsi naît la quête infinie de reconnaissance, ce besoin insatiable d’être validé par les autres, non pas par égoïsme, mais parce que l’amour de soi lui a été refusé avant même qu’il puisse l’apprendre.
L’enfant grandit en devenant un adulte qui donne tout, qui s’efface, qui s’épuise à vouloir être indispensable pour mériter une place, un regard, une caresse.
lI entre dans des relations où il ne sait pas recevoir, car recevoir implique de croire qu’il en est digne. Alors, il donne sans compter, pense aux autres avant lui-même, endosse le rôle du sauveur en espérant qu’en guérissant les autres, il guérira lui-même. Mais ce qu’il ne voit pas, c’est que ce rôle l’enchaîne. Car en sauvant pour être aimé, il ne s’autorise jamais à être aimé sans condition.
Le rejet fait naître une étrange contradiction : une peur viscérale d’être abandonné, mais une incapacité à réellement se laisser aimer. Car aimer suppose d’être vu, d’être accepté tel que l’on est, et pour celui qui a été rejeté trop tôt, cela semble impossible
Comment guérir ? En cessant d’attendre que l’amour vienne de l’extérieur. En osant, pour la première fois, s’accorder ce que l’on a toujours cherché ailleurs. Se choisir. Se respecter. Se donner ce qu’on a tant offert aux autres. Et comprendre, enfin, que l’amour que l’on mérite n’a jamais été conditionnel. Il a simplement été "oublié."

Yolande Quéau

Coucou Bonjour les copinettes

Ça boum ?

Patrice a été récupérer la voiture de chez nous à Saintes et de Saintes au garage il n'a pas eu froid j'espère qu'elle va vite être prête.
Du coup hier soir pizza au saumon pour Patrice et au thon pour moi .moi il l'en reste aujourd'hui legumes vapeur pour moi tian pour Patrice.
Bonne journée à vous bises de moua










Mon fils, dans la vie, viendra un moment où tu devras choisir qui tu veux vraiment être.
Il ne s’agit pas seulement de survivre, mais de décider comment tu veux être perçu… et respecté.
Tu vois, le monde ne récompense pas toujours la gentillesse ou la serviabilité. Bien souvent, ceux qui sont trop doux finissent par être exploités—comme l’âne chargé de fardeaux, qui ne se plaint jamais.
C’est l’animal du service, du labeur silencieux, de la patience sans fin. Et pour cela, rares sont ceux qui le respectent vraiment.

Le loup, en revanche, inspire la crainte. Non pas parce qu’il est cruel, mais parce qu’il connaît sa propre valeur.
Il marche seul si nécessaire, protège les siens, et refuse la laisse. Il incarne la force, le courage et l’indépendance. Il ne se courbe pas devant n’importe qui, et c’est justement pour cela qu’on le craint… mais aussi qu’on le respecte.

Être un loup ne signifie pas devenir dur ou injuste, mon fils. Cela veut dire connaître ses limites, savoir dire non, et préserver sa dignité.
Cela signifie ne pas laisser les autres profiter de ta bonté. Être fort—non pour faire du mal, mais pour ne pas en subir.

La vie t’apprendra que tout le monde ne mérite pas ta gentillesse. Garde-la pour ceux qui en comprennent la valeur.
Ne la gaspille pas sur ceux qui ne voient en toi qu’un outil. Sois bon, mais pas naïf. Sois juste, mais jamais soumis.
Et souviens-toi toujours : le respect ne se demande pas… il se mérite.

Il vaut mieux être un loup solitaire respecté, qu’un âne entouré d’hypocrisie et enchaîné par l’invisible.

Coucou Bonjour les copinettes comment allez vous ?

Ce matin je serai bien restée au lit mais la vampirette est passée la vache je l'ai senti passer " pourtant je vous mets une petite aiguille " mouais.
Il faut que je tel à ma copine coiffeuse pour savoir la date de ses vacances que j'y aille avant
En même temps je vais lui demander comment s'appelle cette coupe que les homme ont " balai de chiotte " car juste une touffe de cheveux sur le crâne.
Il va faire chaud Patrice a ouvert partout à 5h30 mais il fait frais le matin
Que faites vous aujourd'hui ? Moi je prends un autre café en vous écrivant
Patrice récupère la voiture aujourd'hui normalement.

Bonne journée à vous toutes bises de moua













Nous rajeunissons de vingt ans à chaque mot doux qui nous est adressé. . .

Et nous vieillissons de mille ans, portant en nous le poids des années, avec chaque parole blessante. . .

Celui qui pense que les mots sont prononcés en vain se trompe profondément.

Les mots, comme des balles, tuent sans que la loi ne les punisse. . .

Ce qui ravive véritablement les cœurs, ce sont les conversations empreintes de beauté,

Les paroles bienveillantes, la douceur et l’affection, la gratitude exprimée, les compliments inattendus.

L’être humain est une créature fragile :

une parole douce peut l’élever haut, jusqu’au ciel, tandis qu’une parole blessante peut le jeter à terre et tuer son cœur, même s’il est encore en vie. . .

Zaki Benameur

Coucou Bonjour/soir
Super Dany pour la lecture et la cuisine
Ath tu m'as fais rire pour le marathon courses

Hier matin tel au garage de Saintes pas le temps de réparer notre voiture manque et de personnel je vais dire 2 mots àla Macif qui l'agrée donc Patrice a été voir un des voisins qui a des voitures anciennes. Son fils a 1 camion plateau, donc mardi ils vont récupérer notre voiture et la poser chez le garagiste près de chez nous.
En attendant ben on loue 1 voiture ,ce sont les parents de Patrice qui nous ont emmenés .ce matin courses aussi mon Dieu que les prix flambent, le café entre devient un luxe
Temps gris aujourd'hui et coup de vent .

Je vous souhaite une bonne soirée à toutes bises de moua











Nous pouvons toutes dire:

Je ne suis pas née forte.
C’est la vie qui m’a forgée, épreuve après épreuve, silence après tempête.
Chaque blessure m’a sculptée, chaque chute m’a enseigné la patience,
Et chaque départ m’a appris à rester, d’abord pour moi.

Je ne suis pas parfaite.
Je parle trop quand je devrais me taire,
Je me tais quand mon cœur hurle.
J’avance parfois à contre-courant, tête haute, cœur lourd.

Je suis une femme de nuances,
De contradictions belles, de vérités brutes.
Je peux être douce comme une aube,
Ou tranchante comme une vérité qu’on n’attendait pas.

Je n’ai pas besoin de plaire.
Je veux toucher les âmes, pas les apparences.
Ceux qui me voient vraiment, savent :
Je suis loyale, entière, et fidèle même dans le chaos.

J’aime sans demi-mesure.
Pas à moitié, pas à condition.
Quand je donne, je donne tout.
Et si je dois me retirer, je pars entière, sans regret.

Je ne cherche plus à être acceptée.
Je cherche à me respecter.
Et dans ce monde qui change de masque à chaque instant,
Je choisis de rester vraie. . .

.coucou Bonsoir les copinettes
Comment allez-vous ?
Poffe houhou 🤔
Nous marchons pas mal surtout ce matin de bonne heure . ,il y a du monde avec ce beau temps 😎
Bonne soirée à toutes bises





Il fut un temps où l’ennui n’existait pas.
L’été, on rentrait à la maison seulement
quand une voix familière criait depuis la fenêtre:
« À table ! »
Mais nous, on aurait bien continué à courir,
à rire, à vivre dehors.
On remontait les escaliers en courant,
les genoux écorchés sous le short,
en espérant que personne ne verrait.
Parce que chez nous, on n’était pas censés
“Se faire mal”
L’odeur du repas flottait dans toute la maison.
On s’asseyait sans râler, même si on n’aimait pas trop ce qu’il y avait dans l’assiette.
Pas de tablette, pas de télé allumée, juste la voix des parents et le bruit des couverts.
Et à peine le dessert avalé, on repartait,
vers les copains, les poupées dans la poussette, les trottinettes, les cabanes faites de trois bouts de bois et d’un vieux drap.
Il n’y avait pas besoin de se connaître. On jouait avec ceux qu’on croisait. C’était simple.
On s’inventait des histoires, des mondes entiers, avec presque rien.
Et nos mamans… elles avaient des phrases qu’on n’oubliera jamais:
" Tu pleures ? Je vais te donner une vraie raison de pleurer ! »
« C’est moi qui t’ai fait, c’est moi qui décide ! »
Et bien sûr: « Viens ici… je ne vais rien te faire » (avec ce ton qu’on connaissait trop bien).
Un jour, à la plage, la mère d’un copain a crié:
« Si tu te noies, je te tue »
Et nous, on a explosé de rire. Et on en rit encore aujourd’hui.
Cette époque, c’était l’odeur du sable, les habits qui grattent, les genoux sales…
Et l’impression d’être libres.
De vivre pleinement.
Sans même s’en rendre compte.
Et cette photo…
Ce n’est pas juste des petites filles.
C’est un fragment d’une enfance que beaucoup n’échangeraient pour rien au monde.

Coucou Bonjour les copinettes
Nath bravo tu gères bien ton poids
Oui j'ai retrouvé le dossier sécurité social il était dans 1 tiroir .comme j'ai fait pleins de photocopies .bonjour le prix des cartouches ça fait bien2/3 dossiers avec accusé de réception et ensuite le dr conseil doit le convoquer pour voir son état ( vu que l'autre avait trouvé que la SEP était stable ( il a fait 1 poussée )= pour pas payé les i journalières pendant 2 mois en 2022 3 ans que ça traine ils ce disent qu'on va laisser tomber ou mourir entre temps

Aujourd'hui du rangement.
Et vous ?
Bonne journée :bises de moua


















Tu façonnes l’enfant que tu veux voir grandir.

Si tu veux qu’il soit bon, sois bon avec lui.
Si tu veux qu’il soit intelligent, enseigne-lui avec patience.
Si tu veux qu’il soit attentionné, entoure-le de ton attention.
Si tu veux qu’il devienne un ami fidèle, montre-lui, par ton exemple, ce qu’est l’amitié sincère.

Tout ce que tu sèmes en lui, il l’absorbe en silence.

Chaque mot tendre, chaque éloge, chaque manière dont tu le décris
façonne peu à peu la voix intérieure qui l’accompagnera toute sa vie.

Le regard que tu portes sur lui deviendra le regard qu’il posera sur lui-même.
Et la façon dont tu le traites sera celle qu’il adoptera envers lui-même.

Il grandira à l’image de ce que tu as planté en son cœur.

Coucou Bonjour les copinettes

Oui il est magnifique ton rhododendron Nath .

Je ne pas trop encore ce je vais faire pour demain à part un tian et une tarte aux pommes. Je vais voir.
Bonne journée à toutes bises de moua















Mon père
J’ai invité mon père chez moi. Un après-midi, il est arrivé avec une petite valise—quelques paires de chaussettes, des pantoufles où l’on pouvait lire Grand-Père Fier (un cadeau de mes enfants), une chemise en flanelle, un pull et une vieille couverture.

Depuis un mois, mon père, 90 ans, une âme douce et paisible, partage mon toit. Ses cheveux d’argent sont soigneusement peignés, et il se déplace lentement dans la maison en pantoufles. Il marque une pause à chaque seuil, comme s’il franchissait des frontières invisibles.

Il rit doucement en regardant le chat, murmure à des souvenirs que lui seul peut entendre et me raconte ces histoires venues d’un autre temps. Il est discret, réservé, souvent plongé dans le silence. Il savoure les bonbons que je laisse sur sa table de nuit, boit son café d’une main tremblante, vérifiant sans cesse sa vieille montre fatiguée sur son poignet usé par le temps.

Il n’est plus l’homme fort et indépendant que j’admirais autrefois. Il m’a confié tout ce qu’il lui reste. Je le vois dans son regard : ma présence l’apaise lorsque je rentre à la maison.
Lui, si fier, si indépendant, avait vécu seul cinq ans après le départ de Maman.

Aujourd’hui, il ne reste que l’amour, la tendresse, et le poids de notre histoire commune. Mon seul souci est son bien-être—des couvertures douillettes, des repas réconfortants, des éclats de rire et ma main dans la sienne. Rien d’autre ne compte.
J’ai gagné un fils de 90 ans, et je suis reconnaissant de pouvoir lui offrir un havre de paix pour le temps qu’il lui reste.
Merci, Papa, d’être à moi. Reste avec moi aussi longtemps que tu le pourras.

Coucou Bonjour les copinettes

Le soleil est là pour le moment mais les pluies ont bien rafraîchi les maisons.
Depuis 2 jours rangement des papiers si bien que j'ai égaré le dossier de Patrice litige sécurité social ( ils veulent pas lui verser ses indemnités journalières d' un moi en 2022 sous prétexte que la maladie est stable ( SEP ) sans le convoquer sans le voir .ça m'horripile tellement cette histoire quand je vois tous ses gouvernants qui profitent et ont tous des casseroles au c ..je boue. Mon fils le + jeune (43ans) vient enfin manger avec nous avec ses filles et sa chérie pour son aniversaire.
Bon jeudi à toutes bises de moua










Une vipère, prisonnière sous un rocher, se débattait et appelait à l’aide. Une femme, passant au loin, fut touchée par sa détresse et accourut pour la délivrer.
À peine libérée, la vipère la fixa et lui dit froidement:
— J’ai juré de mordre quiconque me tendrait la main.
Ébahie, la femme s’écria :
— Mais je viens de te sauver ! Comment peux-tu songer à me faire du mal ?
La vipère dit avec un calme glaçant :
— Je te mordrai, sans pitié. C’est dans ma nature. Et la nature ne change pas, quoi qu’il advienne.

La femme, d’une grande sagesse , proposa alors;
—Demandons au premier animal que nous croiserons s’il te donne raison. Et si c’est le cas, tu pourras me mordre.

Elles marchèrent un moment, puis croisèrent un loup. Elles lui racontèrent toute l’histoire.
Le loup, sceptique, déclara:
— Je ne peux juger qu’en voyant la scène de mes propres yeux. Reproduisez-la pour moi.

Alors la femme remit prudemment la vipère sous le rocher, comme elle l’avait trouvée, et dit au loup :
— C’était ainsi, tout à l’heure.
Le loup hocha la tête et dit d’un ton grave :
— Laisse-la là. Celui qui trahit la main tendue ne mérite jamais qu’on la lui tende à nouveau. On ne récolte pas toujours la gratitude en offrant le bien. Et celui qui s’est nourri d’ingratitude ne changera jamais, quoi que tu fasses.

Coucou Bonjour les copinettes

Orage et pluie en ce moment pas besoin d'arroser.

Quel programme Dany c'est bien

j'ai faire par l'infirmière le vaccin contre led bronchites
Hier menage et balai vapeur. Laver chemises et autre reste le repassage
L'Eurovision ? Bof c'est trop politique et ce n'ai pas quand on se présente moitié à poil qu'on chante mieux

Je vais ranger des dossiers et on verra ensuite et vous vous faites quoi aujourd'hui ?

Je vous offre le café ?

Bon lundi à toutes















Lorsqu'un enfant arrive à l'école, il apporte chaque jour 2 sacs à dos avec lui.

Le premier est visible : il contient des livres, des cahiers et même un goûter. C'est celui que tout le monde voit, celui qui s'ouvre facilement.

Mais il y en a un autre, invisible aux yeux, qui pèse plus que le premier.
À l'intérieur se trouvent les émotions que ressent l'enfant, qui changent de jour en jour. Il y a ses petites victoires, ses peurs, les attentes des adultes et les désirs qu'il n'arrive pas toujours à exprimer.

Ce sac à dos caché peut être rempli de l'affection de ceux qui l'aiment, d'un câlin donné le matin, d'une salutation souriante. Ou bien il peut porter le poids d’une dispute qui vient d’avoir lieu, d’un silence qui fait mal, d’une solitude qu’il ne peut expliquer.
Il y a des pensées qu’un enfant ne peut pas exprimer, mais qui se manifestent dans ses gestes, dans ses silences, dans sa façon d’être avec les autres.

Ce deuxième sac à dos ne s'ouvre pas avec une fermeture éclair, mais vous pouvez l'apercevoir… si vous regardez attentivement et avec amour.

Coucou Bonjour les copinettes

Orage et pluie en ce moment pas besoin d'arroser.

Quel programme Dany c'est bien

j'ai faire par l'infirmière le vaccin contre led bronchites
Hier menage et balai vapeur. Laver chemises et autre reste le repassage
L'Eurovision ? Bof c'est trop politique et ce n'ai pas quand on se présente moitié à poil qu'on chante mieux

Je vais ranger des dossiers et on verra ensuite et vous vous faites quoi aujourd'hui ?

Je vous offre le café ?

Bon lundi à toutes















Lorsqu'un enfant arrive à l'école, il apporte chaque jour 2 sacs à dos avec lui.

Le premier est visible : il contient des livres, des cahiers et même un goûter. C'est celui que tout le monde voit, celui qui s'ouvre facilement.

Mais il y en a un autre, invisible aux yeux, qui pèse plus que le premier.
À l'intérieur se trouvent les émotions que ressent l'enfant, qui changent de jour en jour. Il y a ses petites victoires, ses peurs, les attentes des adultes et les désirs qu'il n'arrive pas toujours à exprimer.

Ce sac à dos caché peut être rempli de l'affection de ceux qui l'aiment, d'un câlin donné le matin, d'une salutation souriante. Ou bien il peut porter le poids d’une dispute qui vient d’avoir lieu, d’un silence qui fait mal, d’une solitude qu’il ne peut expliquer.
Il y a des pensées qu’un enfant ne peut pas exprimer, mais qui se manifestent dans ses gestes, dans ses silences, dans sa façon d’être avec les autres.

Ce deuxième sac à dos ne s'ouvre pas avec une fermeture éclair, mais vous pouvez l'apercevoir… si vous regardez attentivement et avec amour.